Mark Bristow, numéro un de l’entreprise minière internationale Barrick Gold corps, s’est montré confiant sur l’augmentation des bénéfices de son entreprise au deuxième trimestre malgré l’inflation qui frappe le secteur minier du monde entier.
Le patron de Barrick estime que l’idée que les coûts de l’industrie aient atteint un sommet est un « voeu pieux ».
En effet, le deuxième producteur mondial de l’or a annoncé dans un rapport que les bénéfices du deuxième trimestre pourraient légèrement être supérieur aux estimations, ce, en maintenant en partie les augmentations des coûts plafonnées à 4,1% par rapport au premier trimestre dans un environnement fortement inflationniste. D’après la même source, les coûts de Barrick tendrait vers le haut de gamme, voir dépasseraient sa limite d’orientation mais malgré tous ses efforts, l’entreprise reste dépendante des prix de l’énergie et du carburant.
Réagissant à une interview après la publication des résultats citant le nationalisme lié à la covid, les effets persistants de la relance pandémique et un environnement géopolitique « complètement disparate», le directeur général Bristow s’est montré pessimiste sur la fin de cette crise «je ne pense pas que cette inflation disparaisse rapidement» avait-il déclaré.
En revanche, l’exécutif minier avait fait entendre que les entreprises pouvaient s’en sortir.
«si vous avez de bons corps minéralisés avec une longue durée de vie, vous devriez pouvoir gérer facilement cette inflation et Barrick est certainement dans cette position», a-t-il dit.
Parlant de croissance, l’entreprise Barrick Gold corps basée à Toronto exprime l’intention de se concentrer sur son propre portefeuille, qui est en fait un gisement géant de cuivre et d’or non développé au Pakistan.
En outre, le président directeur général de Barrick a fait savoir que la dite compagnie est toujours à la recherche d’opportunités de négociation mais que ce n’est «pas facile de trouver de la valeur» en ce temps de prise de contrôle potentielles.