Le pétrole Bret dit « l’or noir » poursuit sa montée en puissance. Le baril se négocie à 106,09 USD. Selon les experts, cette flambée de prix est dûe au sixième train de sanctions contre la Russie, pris le mercredi dernier, par la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen. Elle a proposé une interdiction progressive des importations de pétrole Brent en provenance de Kremlin.
Cette semaine, le baril du pétrole Brent s’est négocié à 106,09 USD après avoir franchi la barre de 114,08 USD au cours de l’invention Russe à l’Ukraine. Et pour, le type de pétrole brut dénommé Texas Light Sweet, il se vend actuellement à 102,4 USD sur le marché international.
Selon les statistiques des experts du secteur pétrolier, au mois dernier, les quinze premières cotations du pétrole Brent auraient vendues à 104,291 USD le baril, indiquent-ils, ce qu’en terme de pourcentage le prix du baril a été revu à la baisse de 12,19% relativement au mois de mars de cette année auquel le prix s’est élevé à 118,764 USD.
Les représentants des treize membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses partenaires ont en effet décidé « d’ajuster à la hausse la production totale mensuelle de 432.000 barils par jour pour le mois de juin(Ndlr) ».